Ce court métrage nous fend le cœur car les enfants croient en un véritable voyage en famille et non qu’on les abandonne, mais la mère ne pouvait pas s’occuper d’eux, niveau financier et elle n’avait plus le courage de les élever seule. L’ainé, Nirin, prend la place de la mère en s’occupant de son petit frère. Nirin le console quand il pleure. L’expression de tristesse sur le visage des enfants rend aussi tristes les spectateurs. On voit que Nirin fait preuve de courage, il est dur et ne dit rien.
Le jouet de Nirin nous montre la pauvreté. Les contrastes de lumière nous permettent de voir l’amour qu’il y a entre les trois frères, parce qu’on voit mieux les personnages. Le mouvement de la caméra est agité, ce qui peut paraître embêtant.
Ce court métrage nous apporte un point de vue sur la pauvreté et les conditions de vie d’une mère et de ses trois enfants.
Kelly Patault, Lycée Le Mans Sud