It’s nice in here est une animation réalisée par Robert-Jonathan Koeyers qui nous plonge dans une réflexion sur les stéréotypes poussé dans la société. Nous y suivons deux jeunes qui lutte pour vivre en paix et dont leur seul souhait est juste qu’on ne les juge pas seulement sur leur couleur « Quand on porte souvent quelque chose, ça nous colle à la peau » dans cette phrase si innocente en apparence et en réalité relié à toute la thématique du film et on y voit la détresse mentale de ces jeunes jusqu’à des drames tels qu’on ressent dans cette animation. Ce court métrage tellement court et qui pourtant réussit à nous subjugué par une réalisation aussi présente.
La grande force de cette animation est dans l’opposions là où dans certaine fiction nous avons un seul point de vue, ici nous en avons 2 celui d’Emina une victime d’une injustice policière et celui du policier une personne normal mais qui devient très instable mentalement à cause d’un stress constant dû à son travail et la violence racial de ses collègues.
Dans ce cours métrage nous avons remarqué la puissance de l’animation, qui est assez enfantine pour un sujet aussi mature, les changements de plans, d’ambiance et de style selon le point de vue d’Emina ou du policier. Les plans par rapport à la nature, la vie ou on voit Carmin d’une façon différente on le voit en paix, en harmonie c’est trait sont moins dure plus relation en effet on le voit limite soulagée d’être libéré cette vie
Nous pouvons donc saluer l’équipe d’animation d’avoir pu nous permettre d’admirer un film aussi immersif
Nous avons aussi trouvé le scénario très fort et juste tant sur la forme que sur la morale, une forme de scénario en parfaite synergies avec l’animation
Chaque scène est importante chaque image fixe ou animé reflète un nouvel angle qui nous permet de s’immiscer dans le film et être touché par les doutes des personnages
Et tout c’est nouveaux angles nous permet de voir la justesse de cette injustice Nous vous invitons donc à regarder ce film très émouvant et que nous pouvons très facilement lier aux drames actuels
Deyrem Alexandre du lycée François 1er (le Havre)